Facile, rapide et gratuit

Créez votre site maintenant

Je crée mon site
Site gratuit créé sur
U.E.S

Unis Et Solidaires

Une Eau Saine 

U.E.S

Unis Et Solidaires

Une Eau Saine 

U.E.S

Unis Et Solidaires

Une Eau Saine 

Nettoyage de la plage la Coulisse 

actions & campagnes nettoyage

Les élèves de la classe de Murielle Christophe se sont joint à l'Association U.E.S dans l'action menée pour la protection des littoraux et des plages.

C'est à Trois Rivières que nous avons passé la journée avec une vingtaine d'élèves de CE2, 

 

Temps forts:

- Apprentissage de la durée de dégradation des déchets.

- Sélections des déchets

- Information sur les conséquences des déchets pour la faune marine, 

 

De manière ludique, nous avons partager un repas avec les élèves, pendant lequel, les membres de l'association U.E.S et les enfants ont joué aux questions réponses sur:

- l'environnement

- les gestes écologiques

- le temps de dégradation des déchets

- le tri sélectif

- les conséquences des déchets pour la faune marine

- l'éducation écologique à la maison

- l'importance d'une eau saine

Nettoyage de la plage de Cluny  

Les associations ASCC, LES 3R, VIBRATION et le CANBT de Sainte-Rose

 se sont joint à l'Association U.E.S dans l'action menée pour la protection des littoraux et des plages.

C'est à Sainte-Rose sur la plage de Cluny que nous avons passé la matinée avec une trentaine de bénévoles de toutes les communes, 


Temps forts:

- Récolte des déchets sur la plage, sur le rivage, dans les buissons longeant la route et la plage..

- Sélections des déchets

- Information sur les conséquences des déchets pour la faune marine, 

- Sensibilisation auprès des vacanciers et locaux profitant de la plage de Cluny

Les membres de l'association U.E.S et les enfants venues nettoyer la plage, ont fait une approche significative auprès de la population, en sensibilisant sur :

- l'environnement

- les gestes écologiques

- le temps de dégradation des déchets

- le tri sélectif

- les conséquences des déchets pour la faune marine

- l'éducation écologique à la maison

- l'importance d'une eau saine

Sensibilisation dans les écoles  

L'Association U.E.S se déplace dans toutes les communes, afin se sensibiliser, prévenir et encourager le respect de l'environnement.


Temps forts:

- Récolte des déchets sur la plage, sur le rivage, dans les buissons longeant la route et la plage..

- Sélections des déchets

- Information sur les conséquences des déchets pour la faune marine, 

- Sensibilisation auprès des vacanciers et locaux profitant de la plage de Cluny

Les membres de l'association U.E.S font une approche significative auprès des enfants, l'avenir de demain leur appartenant en sensibilisant sur :

- l'environnement

- les gestes écologiques

- le temps de dégradation des déchets

- le tri sélectif

- les conséquences des déchets pour la faune marine

- l'éducation écologique à la maison

- l'importance d'une eau saine

- les mammifères marins et la répercussion des déchets  sur leur vie.

Le recyclage ludique de certains déchets

INFORMATIONS EVOLUTIONS ENVIRONNEMENTALES 

Grâce à l'eau de pluie cet appareil préserve l'environnement et réduit les coûts de l'eau grâce à une solution innovante. Il stocke l'eau qui vient des gouttières, sépare les déchets, régule le Ph de l'eau et le chlore. Grâce à ce traitement, l'eau peut être utilisée en toute sécurité, elle est même potable. L'autonomie de l'eau assure notre survie.

Bilan de la qualite 2011 2016 vf allege
2,9 Mo
Bilan_de_la_qualite_2011_2016_vf_allege.pdf

La quasi totalité des réserves d’eau françaises contaminées par les pesticides

Si les pesticides ont initialement un rôle de protection des cultures, ils présentent in fine, par leur migration dans les différents milieux, des dangers pour l’homme et les écosystèmes, avec un impact immédiat ou à long terme. La contamination des cours d’eau est quasi-généralisée en France, essentiellement par des herbicides en métropole et des insecticides en outre-mer.             Les secteurs aux teneurs les plus fortes correspondent aux zones de grande culture céréalière, maraîchère ou viticole : nord de la France, bassin parisien, Sud-Ouest, amont du Rhône, Martinique. De façon générale, les eaux souterraines semblent moins contaminées par les pesticides que les cours d’eau mais avec une large présence des produits de dégradation des pesticides.                                Définition Le terme « pesticide » désigne les substances ou produits destinés à lutter contre les organismes jugés nuisibles, qu’il s’agisse de plantes, d’animaux, de champignons ou de bactéries. Les pesticides sont majoritairement utilisés en agriculture ; on parle alors de produits phytosanitaires ou phytopharmaceutiques. Ils font également l’objet d’un usage non agricole par les gestionnaires d’équipements ou de réseaux de transport, les collectivités locales ou les particuliers ; on parle alors de biocides. Ils peuvent être classés par type d’usage : herbicides, insecticides, fongicides, nématicides, rotondicides, acaricides etc.                                                                        L’indicateur est la moyenne annuelle des concentrations totales en pesticides par secteur hydrographique pour les cours d’eau et par aquifère (formation géologique contenant une nappe) pour les eaux souterraines. Les secteurs hydrographiques correspondent à un découpage géographique par bassins versants des rivières. Les entités hydrogéologiques correspondent à un ensemble d’aquifères regroupés par lithologie et grand type de fonctionnement. La France compte 222 secteurs hydrographiques, dont 35 en outre-mer (Mayotte étant assimilée à un secteur) et 222 entités hydrogéologiques dont 46 dans les DOM. Au-delà du seuil de 5 µg/l, l’eau est réglementairement impropre à la fabrication d’eau potable et au-delà du seuil de 0,5 µg/l, elle est impropre à la consommation humaine.     Pertinence La protection à long terme des ressources en eau est une condition du développement durable. Le Parlement européen et le Conseil ont adopté en 2000 la directive cadre sur l’eau (DCE). Cette directive a pour objectif la préservation et la restauration des eaux et des milieux aquatiques, elle s’applique aux eaux de surface, y compris les eaux littorales et les eaux de transition, et aux nappes d’eau souterraine. Elle instaure une obligation de résultat : le bon état de toutes les eaux en 2015, sauf report de délais ou définition d’objectifs moindres dûment justifiés. Le bon état est défini pour les eaux de surface comme un bon état chimique et écologique, et pour les eaux souterraines un bon état chimique et quantitatif.      

 Analyse  Résultats au regard de l’enjeu de développement durable                                                 Les substances actives des pesticides et les molécules issues de leur dégradation, appelées métabolites, sont susceptibles de se retrouver dans les différents compartiments de l’environnement (air, sol, eaux, sédiments, etc.) ainsi que dans les aliments. Même si elles ont initialement un rôle de protection des cultures, elles présentent in fine, par leur migration dans les différents milieux, des dangers plus ou moins importants pour l’homme et les écosystèmes, avec un impact immédiat ou à long terme.                                                                                                                               En 2011, dans les cours d’eau, sur les 176 secteurs hydrographiques que le réseau de surveillance permet de caractériser en France métropolitaine, 63 présentent une concentration moyenne supérieure à 0,5 µg/l, dont 4 dépassent 2 µg/l. Certains secteurs présentent des points de mesure aux concentrations moyennes supérieures à 5 µg/l, seuil réglementaire de potabilisation. Ils sont situés dans les zones de grande culture : bassin parisien, sud-ouest, nord de la France.  La contamination en pesticides n’épargne pas l’outre-mer : 7 secteurs sur les 12 caractérisés dépassent 0,5 µg/l en moyenne.  De façon générale, les eaux souterraines semblent moins contaminées par les pesticides que les cours d’eau. En 2011, seules 4 des 176 entités hydrogéologiques métropolitaines (nappe de Beauce, nappe de la Gâtine occidentale, nappe purbeckienne des Charentes, nappe de la molasse dans le Vaucluse et les Alpes de Haute-Provence) présentent une concentration totale en pesticides qui dépasse la norme de 0,5 µg/l fixée par la DCE. En revanche, plusieurs nappes des DOM, dont 70% des nappes martiniquaises, dépassent ce seuil. Dans 29 % des nappes françaises les concentrations totales en pesticides atteignent ou dépassent 0,1 µg/l. 38 % montrent une contamination faible, avec des concentrations inférieures à 0,1 µg/l, et 22 % des nappes sont sans pesticide détecté. Mais 12% des nappes n’ont pas fait l’objet de mesure en 2011.  Étant donné les temps de transfert vers les nappes et la lenteur de leurs écoulements, les molécules de dégradation des pesticides (métabolites), qui ne sont pas toutes connues en 2011, y sont plus largement retrouvées que les molécules mères.

Disparités territoriales La contamination des cours d’eau en pesticides est quasi-généralisée en France. Seuls 7% des points en sont exempts. Ils sont majoritairement situés dans les régions peu agricoles ou à agriculture peu intensive : quart sud-est, Auvergne. A l’inverse, les régions céréalières, de maïsiculture ou de viticulture, notamment dans le bassin parisien, en Adour-Garonne et le long du Rhône, ou à tradition maraîchère, comme en Martinique et Guadeloupe présentent les plus fortes concentrations en pesticides.                                                                                                     Cette contamination est souvent le fait d’un grand nombre de pesticides : plus de 20 pesticides différents ont été décelés sur 18% des points de mesure. Elle est également liée aux types de cultures pratiquées et aux conditions climatiques : essentiellement des insecticides en Outre-mer et des herbicides en France métropolitaine.                            En 2011, les contaminations des nappes phréatiques par les pesticides sont essentiellement localisées, pour les plus fortes, en région Centre, dans les Charentes, le Vaucluse, les Alpes de Haute-Provence, en Martinique, ainsi qu’au Sud de la Guyane et de Basse Terre en Guadeloupe, avec des concentrations totales de pesticides dépassant 0,5 µg/l (norme de qualité DCE). Au nord de l’Hexagone, en nord Bretagne, dans le couloir rhodanien et le Sud-Ouest, les concentrations totales en pesticides des nappes sont fréquemment supérieures à 0,1 µg/l. Les nappes sous couverture argileuse (en Aquitaine et à l’est du bassin parisien) et les nappes de montagne, est et sud du Massif Central, Pyrénées, Alpes, sont les plus préservées puisqu’aucun pesticide n’y est détecté. Le reste du territoire, montre une contamination généralisée des nappes, même si elle reste majoritairement faible, avec des concentrations inférieures à 0,1 µg/l, respectant les normes de qualité DCE.                                                                                          Pour en savoir plus  Source Les données proviennent des réseaux de surveillance mis en œuvre par les agences de l’eau en France métropolitaine et les offices de l’eau dans les départements d’outre-mer en application notamment de la directive cadre sur l’eau (DCE). Couverture, échelon territorial France entière. Échelle temporelle Année ou période de la série chronologique : 2011 Fréquence de mise à jour : annuelle Méthodologie de l’indicateur Les données utilisées proviennent des réseaux de surveillance mis en œuvre notamment en application de la directive cadre sur l’eau. Pour les eaux souterraines, seules les mesures du réseau de contrôle de surveillance de la DCE ont été prises en compte. Chaque point du réseau de surveillance des cours d’eau fait l’objet d’au moins 4 prélèvements par an en France métropolitaine. L’indicateur est la concentration moyenne annuelle totale en pesticides dans les prélèvements issus de chaque secteur hydrographique ou entité hydrogéologique pour les eaux souterraines. Les points des réseaux de surveillance n’ont pas permis de caractériser 34 des 222 secteurs hydrographiques du territoire et 26 des 222 entités hydrogéologiques (aquifères), regroupées à partir des contours de la BDRHFV1 du BRGM, pour la France métropolitaine, et correspondant aux masses d’eau souterraine pour les DOM.

Principaux objectifs nationaux Dans le défi de la Stratégie nationale de Développement durable 2010-2013 (SNDD) portant sur la Conservation et gestion durable de la biodiversité et des ressources naturelles, un des choix stratégiques est de « réduire les pressions sur les écosystèmes et les ressources naturelles ». La loi Grenelle I n°2009-967 du 3 août 2009 assigne un objectif de bon état en 2015 pour 2/3 des masses d’eau (art. 27).

Autres indicateurs liés Indicateur de développement durable national « Consommation de produits phytosanitaires » : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr, rubrique Développement durable > Indicateurs et indices > Indicateurs de développement durable nationaux www.insee.fr, dossier Développement durable. Bibliographie – CGDD – SOeS, juin 2010, Références, « L’environnement en France – Édition 2010 », chapitre « L’eau », pp. 19-26. – CGDD – SOeS, octobre 2011, Études & documents n° 54, « Bilan de présence des micropolluants dans les milieux aquatiques continentaux, période 2007-2009 », 56 p. et « Annexes partie 1 – Pesticides », 117 p. –    www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr site du CGDD – SOeS, rubrique « Essentiel sur », thème « Environnement », article « Les pesticides dans les eaux ».                                                http://www.lesagencesdeleau.fr     http://www.eaureunion.fr/accueil/      http://eauguyane.fr       http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/accueil.html

 

Rapport detude EP vf
4,4 Mo
Rapport_detude_EP_vf.pdf

U.E.S

Unis Et Solidaires

Une Eau Saine 

L'eau en bouteille de plusieurs marques contaminée par des particules de plastique

Des chercheurs ont testé l'eau de plus de 250 bouteilles dans neuf pays dont le Liban, l'Inde ou les Etats-Unis, sous la conduite de Sherri Mason, professeure à l'université de l'Etat de New York à Fredonia, selon un résumé de l'étude publié sur la plateforme médiatique Orb Media.

Du plastique a été trouvé dans 93% de ces échantillons d'eau en bouteille de plusieurs marques comme Aqua, Aquafina, Dasani, Evian, Nestle Pure Life ou San Pellegrino. Il s'agissait notamment de polypropylène, de nylon et de polytéréphtalate d'éthylène (PET). En moyenne, les chercheurs ont trouvé, dans chaque litre d'eau, 10,4 particules d'une taille environnant 0,10 millimètres.

Des particules trouvées aussi dans des bouteilles en verre

"Je pense que cela vient du processus d'embouteillage. Je pense que la plupart du plastique vient de la bouteille elle-même, de son bouchon, du processus industriel d'embouteillage", a expliqué Sherri Mason. "De l'eau dans des bouteilles en verre contenait aussi des microplastiques", signale par ailleurs l'étude.

Une précédente étude publiée par Orb Media avait montré que des particules de plastique étaient également présentes, en moins grande quantité, dans l'eau du robinet. L'étendue des risques que posent ces particules sur la santé humaine est méconnue.

Jacqueline Savitz, responsable Amérique du Nord pour l'ONG Oceana qui lutte contre la pollution des océans, a estimé que cette étude apportait une raison de plus de limiter la production de bouteilles d'eau en plastique. "Il est plus urgent que jamais aujourd'hui de faire en sorte que les bouteilles d'eau en plastique soient une chose du passé", a déclaré cette représentante de l'ONG qui n'a pas participé à l'étude.

Chlordécone et pesticides : mise à disposition des résultats de l’étude ChlEauTerre

→ Le contexte général : 

Une carte des risques de contamination des sols par la chlordécone a été élaborée en 2005-2006 par la direction de l’agriculture et de la forêt (DAF) avec la collaboration de l’INRA. Elle était issue d’un travail de classement des terres en fonction de leur historique cultural en banane. Sur la base de ce travail, de nombreuses analyses de sols ont été effectuées par différents organismes et leurs données ont été rassemblées à partir de 2009 au sein d’une base de données. Cependant, la répartition de ces analyses sur le territoire guadeloupéen est très hétérogène, car même si certaines données existent en Grande Terre et en nord Basse Terre, la majorité des parcelles analysées se concentre sur la zone dite du « croissant bananier » allant de Vieux-Habitants à Goyave qui regroupe 78% des analyses de sols réalisées.

→ L’étude ChlEauTerre : 

Le projet ChlEauTerre a eu pour objectif d’étudier la contamination par les pesticides du territoire guadeloupéen continental dans son ensemble, en s’intéressant plus spécifiquement à la question de la chlordécone. 
D’une durée de 2 ans et demi, cette étude, menée dans le cadre du plan chlordécone III (2014-2020), a été financée par l’État, l’Office de l’Eau de Guadeloupe, le CIRAD et l’INRA.

→ Les principaux résultats en matière de contamination des bassins-versants :

1. Par les pesticides en général : 
Le premier objectif du projet a été de dresser un état des lieux général de la contamination de la Guadeloupe continentale par les pesticides. Les bassins versants des zones agricoles ont été ciblés et 153 analyses d’eau, portant sur 466 molécules différentes dont la chlordécone, ont été effectuées à leur exutoire. [Nota : Un bassin versant est l’espace terrestre drainé par un cours d’eau et ses affluents]

Une détection de résidus de pesticides a été mise en évidence pour 79 % des bassins versants analysés en Grande-Terre et pour 84 % de ceux analysés en Basse-Terre. Au total, 37 molécules différentes ont été détectées, majoritairement des herbicides (glyphosate, AMPA…) puis des insecticides (chlordécone, HCH béta…), des fongicides et des nématicides. A noter que plus de la moitié des molécules détectées correspondent à des pesticides aujourd’hui interdits, qui ne sont plus utilisés mais qui persistent dans l’environnement (chlordécone, HCH béta, dieldrine, atrazine…).

2. Par la chlordécone en particulier : 

Le second objectif a été de mieux identifier les zones à risque de contamination par la chlordécone, notamment dans les secteurs qui avaient été moins étudiés jusqu’à présent. Une approche méthodologique a été développée en ce sens et s’est appuyée majoritairement sur des analyses d’eau de surface, en partant du principe que si une eau est contaminée, c’est qu’il existe au niveau du bassin versant situé en amont une zone terrestre qui la contamine. [Nota : Un bassin versant est l’espace terrestre drainé par un cours d’eau et ses affluents]. L’ensemble des données spatialisées disponibles pour la chlordécone au début de l’étude (6 230 analyses de terre et 1 823 analyses d’eau) a été utilisé pour sélectionner la localisation de nouveaux prélèvements et permettre de discerner des secteurs géographiques contaminés d’autres qui ne le sont pas. Ainsi 495 analyses de chlordécone et dérivés (chlordécol et chlordécone‐5b‐Hydro) ont été réalisées dans les eaux, complétées par la suite par 36 analyses de terre. Une cartographie de la contamination des bassins versants par la chlordécone a été réalisée.

En Basse Terre, la chlordécone a été retrouvée dans 36 % des analyses effectuées, avec des concentrations variables (0,01 à 42,9 µg/L). De plus, sur l’ensemble des 110 bassins versants analysés à leur exutoire, 39 % ont été identifiés comme rejetant en mer des eaux contaminées. En Grande Terre, quelques points de contamination ont été détectés (5 sur 198 prélèvements), répartis sur les communes du Gosier, du Moule, de Petit Canal et de Port-Louis, avec à chaque fois des taux relativement faibles (proches de la limite de quantification).

→ Une nouvelle carte du risque historique de contamination des sols par la chlordécone lié à un historique cultural en bananes :

La première carte élaborée en 2005-2006 par la direction de l’agriculture et de la forêt (DAF) avec la collaboration de l’INRA était issue d’un travail de classement des terres en fonction de leur historique cultural en banane. Cependant, les données historiques d’occupation du sol étant rares et cette étude devant faire rapidement face au problème de transfert de la contamination des sols aux cultures, cette première carte n’avait pu se baser que sur la connaissance des terres cultivées en banane que de 3 années (1969, 1985 et 1996) et ne s’était intéressée qu’aux parcelles qui avaient été déclarées comme agricoles en 2003. Un certain nombre de parcelles, pourtant anciennement cultivées en banane et pouvant présenter un risque de contamination par la chlordécone, avaient de ce fait été exclues de ce travail.

Le projet ChlEauTerre a été l’occasion d’élaborer une nouvelle carte du risque historique de contamination des sols par la chlordécone, en retravaillant et ré-analysant les documents qui avaient été utilisés pour établir la première carte des risques de 2005-2006, puis en exploitant de nouvelles données provenant de deux cartes de l’ORSTOM (le zonage cultural des régions bananières de Guadeloupe de 1976 et la carte des cultures de la Guadeloupe de 1980).

Cette nouvelle carte du risque historique comporte quatre nouvelles classes de risque échelonnée du risque le plus fort (1) au plus faible (4) :

- Risque 1 : -Basse-Terre : présence de bananiers en plantation pure en 1976, 1980, 1984, 1987 et/ou 1997 → 11 381,05 ha  
- Risque 2 : -Basse-Terre : présence de bananiers associés à d’autres cultures en 1976 et/ou 1980 → 618,63 ha 
- Risque 3 : 
Basse-Terre : présence de bananiers en 1969 et/ou bananiers associés à d’autres cultures en 1976 et/ou 1980 → 1 772,03 ha 
Grande-Terre : présence de bananiers en plantation pure en 1987 et/ou 1997→ 397,97 ha 
- Risque 4 : absence d’historique connu de présence de bananiers sur la période allant de 1969 à 1997.

Au total, la superficie des terrains situés dans les classes de risque 1 à 3 représente 14 170 ha en Guadeloupe continentale parmi lesquels 6 931 ha sont encore en usage agricole, soit 16 % des surfaces agricoles actuelles de la Guadeloupe continentale (qui représentent au total 43 349 ha). L’augmentation des surfaces présentant un risque historique par rapport à la carte antérieure, qui n’avait identifié que 6 570 ha, s’explique par le fait que l’étude ChlEauTerre a amélioré la connaissance de l’évolution des surfaces plantées en bananes pendant la période d’utilisation de la chlordécone (de 1972 à 1993) et intègre désormais l’ensemble des surfaces ayant été cultivées en bananes et non plus seulement la part de celles-ci déclarées par les agriculteurs en usage agricole en 2003.

De nombreuses productions agricoles, non sensibles à la contamination par la chlordécone, peuvent être mises en œuvre sans danger sur des terrains où la chlordécone est présente : christophines, tomates, choux, ananas, haricots, aubergines, bananes, arboriculture, …

S’agissant des productions agricoles sensibles à la chlordécone (élevage, légumes racines, cives, poireaux, pastèque, concombre, melon, giraumon…), les particuliers ou les agriculteurs doivent au préalable s’assurer par des analyses de sols que les terrains envisagés pour ces productions ne sont pas pollués.

Quelle est la probabilité de retrouver de la chlordécone selon la classe de risque ?

La direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (DAAF) a réalisé une étude statistique et cartographique sur la base des analyses de sols déjà disponibles afin d’évaluer la probabilité d’une contamination réelle selon les différentes classes de risque de la nouvelle carte. Ainsi, les probabilités de retrouver de la chlordécone sur les terrains concernés par les différentes classes de risque sont les suivantes :

Risque 1 : probabilité de retrouver de la chlordécone évaluée à 90% 
Risque 2 : probabilité de retrouver de la chlordécone évaluée à 80% 
Risque 3 : probabilité de retrouver de la chlordécone évaluée à 30% 
Risque 4 : probabilité de retrouver de la chlordécone faible, inférieure à 10%

Pourquoi peut on retrouver dans certains cas de la chlordécone sur les terrains en risque 4 ? 
Les informations qui ont été compilées par l’étude ChlEauTerre sur l’historique cultural en banane ne sont pas nécessairement exhaustives, et il peut exister des parcelles de bananiers qui n’ont pas été recensées ou cartographiées

La chlordécone a également pu être utilisée sur d’autres productions que la banane, principalement en cultures maraîchères ou vivrières, pour lutter contre la fourmi manioc ou le charançon de la patate douce, ou en production d’agrumes pour lutter contre le charançon des agrumes. En cas de doute sur l’historique cultural et l’utilisation possible de chlordécone il convient de procéder à une analyse de sol.

Je télécharge les documents de l’étude ChlEauTerre : 

- Le rapport complet de l’étude ChlEauTerre de septembre 2017 : Projet_ChlEauTerre_-_Rapport_Final_2017 (format pdf - 8.1 Mo - 26/02/2018) 
- Le diaporama de présentation des résultats de l’étude ChlEauTerre : CHLT_Presentation_2018-01-17(format pdf - 3.3 Mo - 26/02/2018)

Je télécharge la nouvelle carte du risque historique de contamination des sols par la chlordécone issue de l’historique cultural en bananes :

- La carte de la Guadeloupe :  guadeloupe_carte (format pdf - 1.7 Mo - 09/03/2018)

- Abymes : lesabymes (format pdf - 2.4 Mo - 07/03/2018) 
- Anse Bertrand : ansebertrand (format pdf - 1.5 Mo - 07/03/2018) 
- Baie Mahault : baiemahault (format pdf - 2.2 Mo - 07/03/2018) 
- Baillif : Baillif (format pdf - 2.8 Mo - 07/03/2018) 
- Basse Terre : Basseterre (format pdf - 1.7 Mo - 07/03/2018) 
- Bouillante : Bouillante (format pdf - 1.6 Mo - 07/03/2018) 
- Capesterre Belle Eau : CapesterreBelleEau (format pdf - 2.5 Mo - 07/03/2018) 
- Deshaies : Deshaies (format pdf - 1.5 Mo - 07/03/2018) 
- Gosier : legosier (format pdf - 1.9 Mo - 07/03/2018) 
- Gourbeyre : Gourbeyre (format pdf - 2.8 Mo - 07/03/2018) 
- Goyave : Goyave (format pdf - 2.2 Mo - 07/03/2018) 
- Lamentin : Lamentin (format pdf - 2.4 Mo - 07/03/2018) 
- Morne à l’Eau : mornealeau (format pdf - 2 Mo - 07/03/2018) 
- Moule : lemoule (format pdf - 1.9 Mo - 07/03/2018) 
- Petit Bourg : petitbourg (format pdf - 2.7 Mo - 07/03/2018) 
- Petit Canal : petitcanal (format pdf - 1.7 Mo - 07/03/2018) 
- Pointe à Pitre : pointeapitre (format pdf - 1.7 Mo - 07/03/2018) 
- Pointe Noire : pointenoire (format pdf - 1.6 Mo - 07/03/2018) 
- Port Louis : portlouis (format pdf - 1.6 Mo - 07/03/2018) 
- Saint Claude : saintclaude (format pdf - 2.9 Mo - 07/03/2018) 
- Saint François : saintfrancois (format pdf - 1.3 Mo - 07/03/2018) 
- Sainte Anne : sainteanne (format pdf - 2.1 Mo - 07/03/2018) 
- Sainte Rose : sainterose (format pdf - 2.3 Mo - 07/03/2018) 
- Trois Rivières : troisrivieres (format pdf - 2.5 Mo - 07/03/2018) 
- Vieux Fort : vieuxfort (format pdf - 1.4 Mo - 07/03/2018) 
- Vieux Habitants : vieuxhabitants (format pdf - 2.4 Mo - 07/03/2018)

évolution

Un Filtre en graphène révolutionnaire puriFie n’importe  quelle eau contaminée en une seule étape 

https://trustmyscience.com/filtre-graphene-purifie-eau-contaminee-en-une-seule-etape/

Indispensable à la vie, l’eau n’est pourtant pas une ressource naturelle à la portée de tous. Si dans les pays industrialisés disposer d’une eau potable est une évidence, l’on estime aujourd’hui qu’environ 30% de la population n’a pas accès à une eau saine et salubre. Cependant, une équipe de scientifiques australiens pourraient bien avoir trouvé une solution universelle basée sur la filtration des eaux souillées grâce une nouvelle technologie au graphène.

Obtenu à partir du graphite, le graphène est un feuillet bidimensionnel composé d’atomes de carbone organisés en motifs hexagonaux. Théorisé dès 1947 mais extrait uniquement depuis 2004 (ce qui a d’ailleurs valu le prix Nobel au physicien Andre Geim en 2010), le graphène est un matériau dont les propriétés surprenantes ne cessent d’étonner les scientifiques. Plébiscité pour sa solidité et son exceptionnelle capacité à stocker l’énergie, des chercheurs australiens viennent de démontrer qu’il peut également servir à purifier l’eau insalubre pour obtenir une eau parfaitement potable.

Améliorer l’accès à une eau sans danger pour la santé est un véritable enjeu de santé publique. Don Hang Seo, l’un des chercheurs à l’origine de cette nouvelle technique, rappelle que « presque un tiers de la population, environ 2.1 milliards de personnes, ne dispose pas d’eau saine et buvable. Par conséquent, des millions d’individus – surtout des enfants – meurent chaque année de maladies liées à une mauvaise distribution de l’eau et aux conditions déplorables d’hygiène ».

Ce processus inédit repose sur une forme particulière du graphène obtenu à partir d’huile de soja : le GraphAir. La production de ce dernier est plus simple, plus écologique et moins chère que pour le graphène standard dont les coûts de fabrication sont très élevés. En outre, le GraphAir conserve toutes les propriétés du graphène. Une de ces propriétés, l’hydrophobie, c’est-à-dire la capacité à repousser l’eau, intéresse particulièrement les scientifiques.

Pour développer leur filtre, les ingénieurs et chimistes du Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO) ont tout d’abord fabriqué un film de graphène percé de plusieurs nano-canaux permettant à l’eau de passer tout en bloquant les polluants constitués de molécules plus larges. Par la suite, les chercheurs ont recouvert un système classique de filtration d’eau commercial avec leur film.

Enfin, le dispositif a été testé avec l’eau hautement polluée du port de Sydney. Conséquences : les molécules contaminantes se sont accumulées tout au long de la membrane, bouchant les pores, empêchant ainsi l’eau de passer.

Les scientifiques ont ensuite ajouté le GraphAir au dispositif de filtrage et les résultats se sont révélés saisissants. Grâce au GraphAir, bien plus de polluants ont été éliminés – environ 99% – et ce beaucoup plus rapidement qu’avec le filtre conventionnel. En outre, la filtration a continué de fonctionner malgré l’accumulation des contaminants. Cette technique permet donc de réaliser toute la filtration en une seule étape, alors qu’au moins deux étapes sont nécessaires aux filtres standards (éliminer d’abord les contaminants, puis filtrer l’eau). Comme l’indique Don Hang Seo « cela remplace les processus complexes, chronophages et multi-étapes de filtration actuels par un processus à une seule étape ».

Ces résultats viennent se combiner à ceux obtenus l’année dernière démontrant qu’un film de graphène microporeux pouvait laisser passer l’eau de mer tout en bloquant le sel, offrant une eau totalement potable. Seo poursuit en expliquant que « cette technologie est capable de créer de l’eau potable, peu importe l’insalubrité initiale de l’eau. Tout ce qu’elle nécessite est de la chaleur, notre Graphair, une membrane de filtration et une petite pompe à eau. Nous espérons commencer les essais sur le terrain auprès de communautés en développement dès l’année prochaine ».

À terme, les chercheurs sont persuadés que cette technologie pourra être utilisée dans chaque foyer et même au niveau d’agglomérations entières, sans oublier les usines de traitement des eaux usées et de l’eau de mer.

En savoir plus sur https://trustmyscience.com/filtre-graphene-purifie-eau-contaminee-en-une-seule-etape/#ATWZ7Z0WIR8cRSW6.99

nettoyage de l'océan

https://positivr.fr/boyan-slat-the-ocean-cleanup/

https://www.theoceancleanup.com/milestones/road-to-the-cleanup/

ROAD TO THE CLEANUP

This summer, The Ocean Cleanup will attempt to launch its first cleanup system inside the Great Pacific Garbage Patch. Follow the journey as we finalize engineering, procurement and testing system components in the months leading up to the deployment.

- CONSIGNER et LAVER LES BOUTEILLES EN VERRE -

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si le bruit tonitruant des bouteilles en verre qui se cassent dans la poubelle de recyclage était bientôt un lointain souvenir ? La consigne a disparu du quotidien des français-es depuis une trentaine d’années à mesure que s'imposaient les emballages jetables. 

 

MAIS ELLE REVIENT AUJOURD'HUI SUR LE DEVANT DE LA SCÈNE.

 

 

Bonne nouvelle, puisque, si le verre est déjà recyclé à 86 % (chiffre de l'Éco-emballages pour 2016), mieux vaut réutiliser les bouteilles telles quelles.

Quand la bouteille parcourt moins de 300 km, la laver consomme 4 fois moins d'énergie que le recyclage”.

En effet, pour être recyclé le verre doit être fondu à 1500°C et le processus dure 24 heures, tandis que l'eau utilisée pour le lavage des bouteilles est chauffée à 80°C seulement, et cela ne prend que 30 minutes. D'autant plus intéressant, qu'une bouteille consignée peut être réutilisée au minimum une dizaine de fois !

 

Des consommateurs qui retrouvent un geste écolo de leur enfance

 

      Une dizaine d'associations et d'entreprises sont apparues ces dernières années, pour collecter à nouveau les bouteilles en verre vides, les reconditionner et les revendre, qui, en trois ans, a créé une trentaine de points de collecte de bouteilles de vin dans des magasins du Jura et du Doubs. 

50 000 bouteilles ont déjà été collectées, et l'objectif est de multiplier ce chiffre par 10 d'ici 2020. 

Là, contrairement à ce qui se fait en Allemagne ou en Alsace, les personnes qui déposent des bouteilles ne se voient pas remettre quelques centimes en bon d'achat.

       En effet, contrairement à ce qui se faisait partout en France jusque dans les années 80, les Français-es ne payent plus une petite somme supplémentaire à l'achat des bouteilles, qu'ils récupèrent automatiquement au moment de rapporter leurs bouteilles vides.

Et pourtant, “les  gens jouent le jeu”, constate la responsable d’une de ces filières. “Ils y sont vraiment sensibles, ils le faisaient dans leur enfance et sont contents de voir ce geste revenir.

 

 

Le temps sonne à notre porte aujourd’hui, afin de redonner à la CONSIGNE sa valeur et ses qualités d’éco comportement, que nous, humains, devons adopter sans tarder.

 

Bouteilles en verre en quantité massive croulent dans nos poubelles, sur les trottoirs, dans les déchèteries, sur les plages et rivières, ici en Guadeloupe, mais également dans beaucoup d’autres iles de la caraïbe. 

 

Il est donc logique et impératif de créer en Guadeloupe, les infrastructures permettant de laver les bouteilles en verre et de rétablir la formule : « Ma bouteille Reviens Verre Moi ».

 

L’associationU.E.S Une Eau Saine, Un Esprit Sain – souhaite réaliser ce projet en Guadeloupe. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 Dune part : 

- Convaincre les viticulteurs, les producteurs, diffuseurs et commerçants de racheter des bouteilles lavées plutôt que des bouteilles neuves et à utiliser des étiquettes à colle soluble, qui s'en vont sans problème au lavage.

Elles coûtent un à deux centimes de plus que les étiquettes classiques”, pour expliquer les résistances. Mais ce surcoût est largement compensé, puisqu'une bouteille lavée coûte 20 centimes de moins en moyenne qu'une bouteille neuve.

 

D’autre part :

- Faire appel aux commerçants guadeloupéens, afin de mettre en place de nombreux points de collectes, et inciter les citoyens à prendre part au mouvement éco comportement. L’association U.E.S recherche un ou plusieurs mécènes pour concrétiser le projet « Reviens Verre moi ».

- Solliciter les apports financiers auprès des communes pour matérialiser ces points de collectes, car se sont les communes qui doivent jouer le jeu dans cet Eco-Mouvement afin qu’elles bénéficient d’un résultat Eco- Logique.

 

- Solliciter les institutions afin d’imposer ces règles en Guadeloupe et ses dépendances et participer financièrement à la créations d’usines de lavage de bouteilles.

 

- Favoriser la sensibilisation de l’Eco-mouvement auprès des écoles et des associations existantes. Ce que l’association U.E.S- Une Eau Saine, Un Esprit Sain -  fait déjà depuis quatre ans.

 

Les logos « Reviens Verre Moi », étiquettes appellation « RVM » et les  affiches « Reviens Verre Moi, Ma bouteille s’APPELLE REVIENS» sont crées par que l’association U.E.S- Une Eau Saine, Un Esprit Sain -  

 

L’association U.E.S recherche un ou plusieurs mécènes pour concrétiser le projet « Reviens Verre moi ».

 

Chanson « Reviens verre Moi »

 


Elle s’en va mais elle revient

Elle fait de tout petits pleins

Ne casse pas, ne jette pas

Car il faut prévoir pour demain

Et la planète en a besoin

Alors pour faire le plein

Consigne et tout ira bien 

Nos enfants diront merci

Vous avez fait ce qu’il fallait

Pour sauvegarder notre demain

 

Elle s’en va mais elle revient

Elle fait de tout petits pleins 

Se recycle et puis se lave 

Alors consigne pour demain

Et tout ira bien pour l’humain

ça fait chaud au fond du coeur 

Car tu verras le bonheur

Se trouve dans les gestes de coeur

Alors consigne avec bonheur

Le verre de notre bonne humeur

 

Sur un air de « ça s’en va et ça revient »

Claude François

 

 

 Tel : 0590 84 00 53 

Cell : 0690 591 547

Mail: francetiberge@hotmail.com 

https://www.facebook.com/AssociationUESUniEtSolidaireUneEauSaine/

CHEMIN DE BOUBERS DUPORTAIL 
Sainte-Rose 97115 GUADELOUPE

F.W.I